Justice

L’organisateur du concert annulé de Kendji à Andard fait parler une nouvelle fois de lui.

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L’organisateur du concert annulé de Kendji à Andard fait parler une nouvelle fois de lui. « Les « affaires » rattrapent Nicolas Guitton, gérant du K-Baret à Oizé (Sarthe), qui vient d'être mis en examen pour escroquerie à Saumur. Mais, l'homme se défend et fait valoir la présomption d'innocence. » indiquait ce matin le Maine Libre.

L’organisateur du concert annulé de Kendji à Andard fait parler une nouvelle fois de lui. « Les « affaires » rattrapent Nicolas Guitton, gérant du K-Baret à Oizé (Sarthe), qui vient d’être mis en examen pour escroquerie à Saumur. Mais, l’homme se défend et fait valoir la présomption d’innocence. » indiquait ce matin le Maine Libre.

L’organisateur du concert annulé de Kendji à Andard fait parler une nouvelle fois de lui. « Les « affaires » rattrapent Nicolas Guitton, gérant du K-Baret à Oizé (Sarthe), qui vient d’être mis en examen pour escroquerie à Saumur. Mais, l’homme se défend et fait valoir la présomption d’innocence. » indiquait ce matin le Maine Libre.

« Au terme d’enquête de quatorze mois, menée par la communauté de brigade de Baugé-en-Anjou, l’auteur principal d’une escroquerie a été mis en examen le mercredi 20 janvier à Saumur. Sous l’enseigne Top Services 49, cette entreprise, basée à Angers, multipliait les commandes de matériaux de construction d’une part, de sonorisation et d’éclairage pour les discothèques d’autre part. Et les fournisseurs n’ont jamais été payés. Le préjudice de l’escroquerie est évalué à 280 000 €. Le principal acteur du stratagème, anciennement domicilié à Baugé, aujourd’hui dans la Sarthe, sera poursuivi pour escroquerie, abus de confiance, abus de biens sociaux, faux et usage de faux », écrivait encore dernièrement le « Courrier de l’Ouest ».

Mis en examen par le tribunal de Saumur, Nicolas Guitton est connu dans le monde du spectacle régional et un collectif dénonce des actions qu’il aurait pu faire dans le passé «Les vices de procédures ou la complexité des dossiers n’ont pas pu permettre d’aboutir à des condamnations à la hauteur de ce qu’espéraient les victimes » précise le collectif. Rappelant la mise en examen en cours « Tout ça, c’était avant le K-Baret », précise Nicolas Guitton. « Désormais, je suis installé en Sarthe et j’ai tourné la page. » affirmait Nicolas Guitton dans le Maine Libre ce matin.

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