Sante

Le CHU d’Angers met à l’honneur ses jeunes chercheurs

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DR- Douze jeunes chercheurs ont reçu le soutien du CHU d’Angers dans le cadre de l’appel d’offre interne 2016. Hier, à l’occasion d’une soirée organisée en leur honneur, ces douze hospitaliers ont présenté au public leur projet de recherche.

Douze jeunes chercheurs ont reçu le soutien du CHU d’Angers dans le cadre de l’appel d’offre interne 2016. Hier, à l’occasion d’une soirée organisée en leur honneur, ces douze hospitaliers ont présenté au public leur projet de recherche.
Mettre le pied de ses hospitaliers à l’étrier de la recherche clinique. C’est l’objectif que poursuit le CHU d’Angers en soutenant, tous les ans, une série de projets portés par des jeunes chercheurs de l’établissement. La promotion 2016 de cet appel d’offre interne se compose de 12 lauréats. Neuf études médicales et trois études paramédicales se partagent ainsi respectivement des enveloppes de 200 000 € et 50 000 €. Ces 12 jeunes chercheurs ont présenté chacun leur projet à l’occasion d’une soirée ce mercredi soir au sein du l’hôpital angevin.

Un projet.Impact de la musicothérapie sur le soulagement de la douleur lors des IVG.

Parmi les dossiers présentés ce mercredi soir, celui du Dr Vanessa BELLOEIL du centre IVG d’Angers, sur l’impact de la musique sur le soulagement de la douleur lors des interruptions volontaires de grossesse.Ce projet de recherche part de l’hypothèse “que la musicothérapie pratiquée en amont de l’interruption de grossesse pourrait permettre une prévention plus efficace de la douleur, de l’anxiété, et une meilleure qualité de prise en charge de la patiente tout au long de l’intervention.” explique le docteur.En effet, les connaissances et données disponibles dans la littérature sur la musicothérapie, ainsi que l’expérience du personnel soignant du centre d’IVG du CHU d’Angers dans la pratique de cette dernière pour d’autres indications, laissent penser qu’elle peut avoir une efficacité réelle.

Aujourd’hui, le projet a reçu l’autorisation de l’Agence nationale de Sécurité du Médicament (ANSM).Les présélections de patientes qui pourraient participer à ce projet ont débuté en novembre dernier.

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