Sarthe

Grand Prix de France MotoGP 2025 : 312 000 fans au Mans, un week-end chaud mais sous contrôle

Publié

le

Crédit AM/ Angers Info. Contrôle routier commun police/gendarmerie

Le Grand Prix de France Moto 2025 a encore une fois fait vibrer le circuit Bugatti du Mans, avec près de 312 000 spectateurs rassemblés tout au long du week-end. Une fréquentation record qui confirme l’engouement intact pour cet événement phare du calendrier moto. Malgré cette énorme affluence, l’ambiance est restée globalement sereine. À l’image de l’édition 2024, les épreuves se sont déroulées sans agitation particulière, et les forces de l’ordre n’ont pas eu à intervenir de manière significative.

Une organisation bien huilée
Tout au long de l’événement, un poste de commandement des services de l’État est resté activé pour coordonner les différentes actions : gestion de la circulation, contrôles routiers, prévention des débordements et interventions de secours. Grâce à cette organisation, la sortie du public, amorcée dès 15h ce dimanche, s’est déroulée sans heurts. Le dispositif a été levé à 18h45, marquant la fin officielle du Grand Prix 2025.

Contrôles routiers : un bilan modéré mais pas anodin
Du côté des forces de police et de gendarmerie nationales, environ 1517 contrôles routiers ont été effectués sur le week-end. Ces contrôles ont permis de relever plusieurs infractions, notamment des excès de vitesse, des conduites sous l’emprise de l’alcool ou de stupéfiants, ce qui a conduit à 50 rétentions de permis. Des chiffres raisonnables au vu de la foule présente, mais qui rappellent que la vigilance reste de mise lors de grands rassemblements comme celui-ci.

Un décès à déplorer, mais moins d’évacuation que l’an dernier
Côté secours, les équipes ont procédé à 29 évacuations médicales, principalement pour des blessures légères, un chiffre en baisse comparé aux 47 évacuations recensées en 2024. Néanmoins, le week-end a été marqué par le décès d’un spectateur survenu vendredi. Une enquête est en cours pour éclaircir les circonstances de ce drame.

Les + vus

Quitter la version mobile