Maine-et-Loire
La Société nationale des objets connectés à Verrières-en-Anjou en redressement judiciaire
Yannick Dessertenne, président et fondateur de la Société nationale des objets connectés (Snoc), basée à Verrières-en-Anjou, près d’Angers (Maine-et-Loire), a sollicité l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire. Cette demande, déposée en début de semaine auprès du tribunal de commerce d’Angers, a été acceptée.
Selon Ouest-France, spécialisée dans les solutions liées aux objets connectés pour les entreprises et les collectivités, la Snoc a connu une année 2024 en deçà des attentes. « 2024 n’a pas été à la hauteur de nos espérances, et nous avons subi une baisse de notre chiffre d’affaires, explique Yannick Dessertenne. L’attentisme du secteur industriel a freiné les ventes. »
Des projets pour un avenir prometteur
Malgré ce contexte difficile, le dirigeant se montre optimiste quant à l’avenir de son entreprise. « Nous avons des perspectives », affirme-t-il.
Parmi les projets en cours, la Snoc collabore avec l’entreprise industrielle Grolleau sur un dispositif de sécurisation des armoires pour la fibre optique. Elle a également remporté un contrat important pour la fourniture d’objets connectés au Grand Poitiers (Vienne).