Culture

Mademoiselle Holmes : une série tournée en partie en Maine-et-Loire et en Vendée diffusée ce jeudi 11 avril sur TF1

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Crédit TF1 – Lola Dewaere et Tom Villa

Une nouvelle série tournée en Pays de la Loire et soutenue par la Région sera diffusée ce jeudi 11 avril à 21h10 sur TF1. Mademoiselle Holmes entraîne les téléspectateurs dans les aventures de la descendante du célèbre détective. Ils y reconnaîtront de nombreux décors angevins et vendéens.

Mademoiselle Holmes a reçu une aide à la production de 200 000 € de la Région des Pays de la Loire.

L’équipe a bénéficié de l’appui du Bureau d’accueil des tournages durant 20 mois, permettant le recrutement de 66 techniciens, 22 comédiens et 350 figurants ligériens. Le tournage s’est déroulé en Pays de la Loire durant 59 jours au printemps 2023. Cette série télévisée en six épisodes est réalisée par Frédéric Berthe et François Ryckelynck sur un scénario de Victoria Spennato (coproduction Marysol / TF1).

C’est Lola Dewaere qui se glisse dans la peau de Charlie, héroïne des temps modernes librement inspirée du personnage de Sherlock Holmes créé en 1887 par Sir Arthur Conan Doyle. Empathique à l’excès, elle a comme son aïeul un sens de l’observation très aiguisé. A ses côtés, Tom Villa interprète un légiste stagiaire qui va vite devenir son docteur Watson, et ainsi redonner vie au célèbre duo. Quant à Daniel Prévost, il joue le rôle de « Papou » qui héberge Charlie devenue policière à Nantes. Thomas Jouannet et Alika Del Sol font également partie du casting de cette comédie aux personnages drôles et attachants.

L’intrigue de la série se déroule en partie au Château de Challain-la-Potherie et à Cugand

« Moi, c’est un plaisir car je suis une régionale de l’étape, en quelque sorte. Dès l’âge de trois ans, ma mère m’a confiée à mes grands-parents qui habitent toujours à Saint-Lambert-du-Lattay, dans le Maine-et-Loire. J’y suis restée jusqu’à mon adolescence et j’y retourne dès que je le peux, car j’ai aussi de nombreux amis d’enfance là-bas. À la disparition de mon père (ndlr : Patrick Dewaere), que je n’ai pas connu, c’était un peu mon berceau familial. Ça le reste aujourd’hui » raconte Lola Dewaere.

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