Angers

Des logements sociaux innovants à Angers pour réduire les coûts et les charges.

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La nouvelle résidence Carl Liné

En étroite collaboration avec la ville d’Angers, le bailleur social Le Toit Angevin a réalisé dernièrement des logements sociaux innovants. Leurs particularités ? Ils sont qualitatifs, reproductibles, durables, à bas coûts et réalisables à court terme. Une véritable innovation sur le marché de l’immobilier ! Et une réponse rapide aux besoins actuels !

Les logements innovants, Kesako ?

L’idée était de trouver une solution alternative à la hausse des loyers en ville pour le logement des ménages bénéficiaires de loyers bas ; Mais aussi, de réduire les délais trop longs dans la construction des logements sociaux. Ainsi, la ville d’Angers et les bailleurs sociaux ont décidé de proposer un concept novateur adapté aux besoins du marché, à court terme. Pari tenu !

En effet, le 27 juin dernier, Le Toit Angevin livrait sa 1ère résidence innovante, nommée Carl-Linné, dans le quartier d’Orgemont à Angers. Une innovation qui se traduit par des logements :reproductibles et modulables, respectueux de l’environnement et conformes aux normes BBC, à bas coûts avec une quittance de loyer maîtrisée, constructibles dans des délais courts.

Un terrain de la ville fut mis à disposition pour accueillir cette résidence de 34 logements, répartis comme suit :9 appartements type 2 (49 m2), 17 appartements type 3 (63 m2), 8 appartements type 4 (76 m2).

Les logements en étage disposent chacun d’une grande loggia d’environ 13 m² et les 4 logements en rez-de-chaussée bénéficient, quant à eux, d’un jardin (environ 40 m²) et d’une terrasse. Une place de parking aérienne ou couverte est réservée pour chaque logement. Coût total de ce nouveau programme : 3.6 millions d’euros TTC. Le loyer moyen hors charge T2 : 325 €, T3 : 385 €, T4 : 440 €.

A la fois écologiques et économiques, les logements innovants reposent ainsi sur un procédé de production semi-industrialisée, grâce à l’utilisation d’une ossature métallique, de planchers en béton préfabriqués et de façades en bois industrialisées. Seulement 2 ans furent nécessaires à la réalisation de ce programme nouvelle génération, dont 11 mois de chantier. Alors qu’un programme classique demande 3 ans minimum ! « Cette démarche est très intéressante. Elle permet une nouvelle approche en matière d’ingénierie de projet : délais de consultation réduits et procédures simplifiées, process de fabrication standardisés… Elle permet aussi d’avoir des coûts de sortie sécurisés très rapidement. Cependant, la réussite de l’opération sera réellement avérée quand on aura les premiers retours des locataires ! » déclare Pierre Monteillet, chargé d’opération chez le bailleur social.

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