Justice

Policiers en colère, le mouvement semble aussi toucher Angers.

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REUTERS/Charles Platiau

Depuis le placement en détention provisoire d’un de leur collègue à Marseille, une partie des policiers ne décolère pas. Le syndicat Unité SGP Police appelle au service minimum, le mouvement semble aussi toucher Angers (Maine-et-Loire).

Accusé de violences policières début juillet lors d’émeutes ayant suivi la mort de Nahel, Un policier de la brigade anticriminalité (BAC) est poursuivi pour « violences en réunion par personne dépositaire de l’autorité publique ayant entrainé une ITT supérieure à 8 jours ». Trois autres membres de la BAC ont aussi été mis en examen.

En raison des nombreux policiers en arrêt maladie pour protester contre le placement en détention provisoire de l’un de leur collègue mis en cause dans le passage à tabac d’un jeune homme, seules les plaintes « les plus urgentes » sont acceptées dans certains commissariats. Le mouvement semble prendre de l’ampleur, comme à Angers, indique un journaliste spécialisé de Ouest France.

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