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Rentrée scolaire : Christelle Morançais en visite dans trois lycées du Maine-et-Loire

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Visite du restaurant scolaire au lycée PE-Victor – Crédit RPDL-J.Sarago

Trois lycées, trois ambiances pour la présidente de Région. Ce mardi 2 septembre, à l’occasion de la rentrée, Christelle Morançais a enchaîné les visites à Avrillé, Sainte-Gemmes-sur-Loire et Segré, entre inaugurations, distributions d’ordinateurs et coups de projecteur sur les formations professionnelles.

À Avrillé, un resto tout neuf pour les lycéens

Au lycée Paul-Émile Victor, la rentrée avait un parfum de nouveauté. Les élèves ont découvert un tout nouveau restaurant scolaire, lumineux et moderne, financé par la Région à hauteur de 3,9 millions d’euros. Cuisine dernier cri, self participatif, produits locaux : tout est pensé pour bien manger et éviter le gaspillage.

Cette année, le chef angevin Samuel Albert devient le parrain de l’opération « Ici, on cuisine ! » et signera même un menu spécial en octobre. « On veut que les jeunes prennent plaisir à bien manger au lycée », a souligné la présidente.

À Sainte-Gemmes-sur-Loire, un internat flambant neuf

Direction ensuite le lycée agricole et CFA du Fresne, où d’importants travaux viennent de s’achever. Près de 13,1 millions d’euros ont été investis pour moderniser les bâtiments, agrandir le CDI, et surtout offrir un internat rénové de 57 lits aux apprentis. De quoi accueillir dans de meilleures conditions les 484 élèves et 207 apprentis qui se forment ici aux métiers du végétal, de l’horticulture ou du paysage.

Là aussi, la distribution d’ordinateurs et de matériel professionnel a marqué la visite.

À Segré, des outils pour les futurs pros

Dernière étape au lycée Blaise Pascal de Segré. Ici, ce sont les élèves des filières professionnelles qui étaient à l’honneur. Quinze caisses à outils ont été offertes aux secondes Métiers de la maintenance, et autant de mallettes pour les jeunes en maroquinerie.

Un vrai coup de pouce puisque la Région prend en charge 80 % du coût, le lycée le reste : les familles n’ont rien à payer. « C’est important que chaque jeune ait les mêmes chances de réussir, sans que l’argent soit un frein », a insisté Christelle Morançais.

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