Justice

Le corps de Justine Roche retrouvé : la piste de l’accident privilégiée

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Un hélicoptère de la gendarmerie (©Adobe Stock / Illustration)

Après deux jours de recherches intensives, le corps de Justine Roche, 24 ans, a été retrouvé sans vie ce dimanche 5 janvier dans une bassine collective située à La Roche Baraton, à Beaupréau (Maine-et-Loire) , à seulement 300 mètres de son domicile familial. La jeune femme, étudiante à Limoges, n’avait pas donné signe de vie depuis son départ en balade avec son chien, suscitant une vive inquiétude.

Une mobilisation exceptionnelle

Face à cette disparition inquiétante, la gendarmerie du Maine-et-Loire avait lancé un appel à témoins dès le samedi 4 janvier. Les recherches, particulièrement importantes, ont mobilisé un impressionnant dispositif.

« Ce sont 70 militaires de la compagnie de Cholet qui ont été mobilisés, avec le soutien de deux équipes cynophiles, un Saint-Hubert, un hélicoptère de la SAG de Saint-Nazaire et trois plongeurs de la brigade nautique de Nantes », a détaillé Éric Bouillard, procureur de la République d’Angers.

Les circonstances du drame

Selon les premières constatations, la piste de l’accident est privilégiée par les enquêteurs. La présence du corps d’un renard dans le même étang a conduit le procureur à avancer une hypothèse : « La jeune femme a peut-être voulu porter secours à son chien, attaqué par ce renard », a expliqué Éric Bouillard. Ce qui aurait conduit à sa chute dans l’étang.

Une enquête toujours en cours

Bien que l’hypothèse d’un accident soit mise en avant, les autorités continuent d’investiguer pour déterminer les circonstances exactes de ce drame

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