Angers

Signature d’un accord unique entre les militaires et le monde civil dans le Maine-et-Loire

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Hugues Arminjon, directeur du territoire d’Angers BNP Paribas et Jean-Philippe Crach, délégué militaire du département de Maine-et-Loire, signent le tout premier manifeste.

Ce mardi 21 mars, à l’Ecole du Génie à Angers, avait lieu la signature du manifeste « ProMilès »(pour les militaires), entre la délégation militaire départementale et le groupe BNP Paribas. Ce partenariat vise à favoriser et à encourager l’établissement de liens directs entre les entreprises et les unités militaires du département de Maine-et-Loire.

6 500 militaires et civils

C’est le nombre d’hommes et femmes qui forment les rangs de notre défense dans la région Pays de la Loire. 90% de ces effectifs se trouvent dans le Maine-et-Loire et la Sarthe. Une forte présence militaire se retrouve notamment au 6e régiment du génie à Angers et Avrillé, mais aussi au 2e Régiment de dragons à côté de Saumur. «La signature de ce manifeste nous anime. Comme vous, BNP Paribas est aussi très fortement implanté sur notre département, nous allons nous concentrer sur les familles et les enfants qui souhaiterais bénéficier de ce partenariat» explique Hugues Arminjon, directeur du territoire d’Angers BNP Paribas.

Un intérêt humain

«Cette relation n’est pas basée sur un intérêt financier» rappelle Hugues Arminjon et Jean-Philippe Crach, délégué militaire du département de Maine-et-Loire. «C’est un engagement au plus près des citoyens, dans le contexte actuel, ce manifeste intervient dans un objectif d’unité» poursuit le général. Unir le monde militaire et le monde civil, c’est l’objectif de cet accord qui va durer 5 ans.

L’avant et l’après-carrière

«On remplie 70 classes rien qu’avec les enfants de militaires» explique le général, BNP Paribas, grâce à cet accord, va permettre à certains de ces enfants de trouver des stages au sein de leurs locaux. Mais pas que, BNP Paribas s’engage aussi à proposer des postes pour les conjoint(e)s seul(e)s pendant de longues périodes, mais aussi les blessés. Jean-Philippe Crach ne cache pas son souhait de développer le nombre d’accords avec les acteurs locaux, «j’espère que ce sera la première d’une longue série de signatures» soutient-il.

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