Vienne

Élection sénatoriale partielle dans la Vienne : six candidats en lice

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Ce dimanche, la Vienne se prépare à une journée politique intense avec l’élection sénatoriale partielle, sollicitant la participation des grands électeurs.

Selon France Bleu, cette élection est destinée à pourvoir le siège laissé vacant par Yves Bouloux, sénateur LR et ancien maire de Montmorillon, suite à sa démission pour des raisons de santé à la fin de l’année dernière.

Six candidats en lice de la gauche à l’extrême droite

Pas moins de six candidats ont annoncé leur participation à ce scrutin, représentant un large éventail politique allant de la gauche à l’extrême droite. Au centre de l’attention se trouve la candidature de Marie-Jeanne Bellamy, ancienne suppléante d’Yves Bouloux, bénéficiant du soutien d’Alain Pichon, président de la Vienne. Elle occupe également le poste de vice-présidente au département et préside l’association des maires 86.

Des soutiens divers au sein de la majorité départementale

Au sein de la majorité départementale, Gérard Pérochon, maire de Sénillé, apporte son soutien à Karine Desroses, conseillère régionale élue sur la liste socialiste d’Alain Rousset. Cependant, le président de Nouvelle-Aquitaine préfère soutenir Gisèle Jean, maire de Queaux, créant ainsi une division au sein de la majorité.

Une situation complexe avec des alliances divergentes

La situation se complique davantage avec le Parti socialiste, où certains membres soutiennent Cyril Cibert, président des maires ruraux de la Vienne. Les divergences au sein du PS risquent de diviser les voix. Du côté de la droite, Frédéric Texier, maire de Brux, et Xavier Monnais, maire RN de Thollet, complètent le panorama des candidats.

Cette élection s’annonce comme un test politique majeur dans la Vienne, avec des enjeux et des alliances qui pourraient redéfinir le paysage politique local.