Salon du végétal à Angers : la foule venue découvrir la « Vegetal Box » par Terra Botanica et Silence, ça pousse !

La présentation de la « Vegetal Box » par Stéphane Marie et imaginée par Terra Botanica et Silence, ça pousse ! a été le temps fort du Salon du Végétal qui s’est déroulé du 13 au 15 septembre à Angers.

L’animateur jardinier de la célèbre émission de l’art de vivre au jardin (France 5) y a expliqué comment chacun peut récréer chez soi des « bulles vertes » avec peu de surface… au travers de quatre espaces miniatures de moins de 5m2 : un potager, un jardin sec, un balcon et une terrasse, le tout en format miniature ! Cette présentation ouverte à tous les visiteurs du Salon du Végétal, les professionnels comme le grand public, s’est poursuivie par un temps d’échanges et d’une séance de dédicaces. La Vegetal Box devrait être présentée dans d’autres lieux et à l’occasion d’autres événements dans les prochains mois ont confirmé ses créateurs.

« La Végétal Box, c’est plein de petits lieux qu’on peut retrouver chez soi comme un balcon ou une petite terrasse où il est possible de composer des emplacements végétaux. C’est une boîte végétale dans laquelle chacun peut venir chercher des idées et imaginer son prochain printemps » s’est enthousiasmé Stéphane Marie en s’adressant au public venu nombreux écouter ses conseils et astuces. L’occasion aussi pour de l’animateur jardinier le plus célèbre de France de féliciter le parc du végétal et de la biodiversité « qui connait un très grand succès ces dernières années ».

La Vegetal Box : un potager, un jardin sec, un balcon et une terrasse, le tout en format miniature !

Pour la première année, le Salon du végétal était ouvert en partie au grand public, une opportunité pour tous les passionnés des jardins et du végétal de venir chercher des conseils et idées auprès des professionnels. « A Terra Botanica, nous offrons une expérience immersive à travers différents univers du végétal, en grandeur XXL. Cela déclenche des envies auprès de nos visiteurs qui nous disent vouloir plus de végétal et de biodiversité chez eux avec comme contrainte, pour la plupart d’entre eux, d’avoir très peu d’espace » explique Pierre Watrelot, le directeur de Terra Botanica.