Charente
Meurtre à la tronçonneuse aux Pins : Le troisième jour de procès de Jordan Mohar s’ouvre ce lundi à Angoulême
Le procès de Jordan Mohar pour l’assassinat de sa grand-mère aux Pins, le 7 mai 2021, se poursuit aux assises de la Charente à Angoulême. Ce lundi, les témoignages et les éléments de l’enquête mettent en lumière les circonstances du crime.
Contexte familial
Pour rappel, Jordan Moha encourt la réclusion criminelle à perpétuité pour avoir tué, à la tronçonneuse, sa grand-mère le 7 mai 2021. Les témoignages des proches révèlent des interactions troublantes entre Jordan Mohar et sa grand-mère peu de temps avant le crime. Des moments de tension sont évoqués, laissant entrevoir des relations familiales complexes. La question de l’héritage est également soulevée, mettant en lumière les motifs potentiels du crime.
Des témoignages qui s’enchaînent
Les proches de la victime ont pris la parole pour évoquer le traumatisme causé par le meurtre brutal d’Arlette Mohar. Selon le Charente Libre, sa fille exprime sa douleur en décrivant la violence de l’acte : « Imaginez, la nuit, quelqu’un vient tronçonner vos volets…Comment c’est possible, comment on peut imaginer faire quelque chose comme ça ? » La quête de vérité et de justice est au cœur des préoccupations de la famille.
Analyses médico-légales
Les expertises médico-légales apportent des éléments majeurs à l’enquête. Les blessures constatées sur le corps de Jordan Mohar ainsi que les détails sur les conditions de son arrestation fournissent des pistes supplémentaires pour comprendre les événements entourant le meurtre.
Demande de justice
Les proches de la victime expriment leur douleur et leur désir de justice. Le gendre d’Arlette Mohar déclare : « En détruisant Arlette, il a détruit la famille. On attend qu’il [Jordan] essaie de s’expliquer, qu’il dise la vérité, qu’il dise ce qui l’a amené à faire ça. »