Angers

V.Trierweiler sur Leonarda: on ne « franchit pas » la porte de l’école [VIDEO]

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Valérie Trierweiler, compagne du président François Hollande, a déclaré vendredi à Angers à propos de l'affaire Leonarda, collégienne d'origine kosovare expulsée, qu'on "ne franchit pas certaines frontières" et que "la porte de l'école en est une". (c) Afp

Valérie Trierweiler, compagne du président François Hollande, a déclaré vendredi à Angers à propos de l’affaire Leonarda, collégienne d’origine kosovare expulsée, qu’on « ne franchit pas certaines frontières » et que « la porte de l’école en est une ». (c) Afp

Valérie Trierweiler, compagne du président François Hollande, a déclaré vendredi à Angers à propos de l’affaire Leonarda, collégienne d’origine kosovare expulsée, qu’on « ne franchit pas certaines frontières » et que « la porte de l’école en est une ».

Interrogée sur le thème de la sanctuarisation de l’école, elle a répondu: « C’est un vocabulaire religieux que moi je n’utilise pas, mais l’école est un lieu d’intégration, elle n’est pas un lieu d’exclusion ».

« On ne franchit pas certaines frontières et la porte de l’école en est une », a-t-elle ajouté lors d’une rencontre avec la presse à Angers.

Mme Trierweiler, à qui un journaliste demandait si elle est se sentait concernée par le sort de la jeune Leonarda Dibrani, a ensuite répondu: « je ne suis pas la seule aujourd’hui me semble-t-il a être concernée, on l’est tous ».

« L’école est là pour offrir l’égalité des chances », a-t-elle ajouté avant de préciser: « elle n’est pas là pour exclure. Encore moins quand on juge des parents et pas des enfants ».

Selon la compagne du président, la jeune collégienne « n’est pas responsable ce que son père à pu faire ».

Toutefois, interrogée sur un éventuel retour en France de la jeune fille, Mme Trierweiler a répondu qu’elle ne se prononcerait « pas sur le fond ».

L’enquête sur les circonstances de l’interpellation Leonarda Dibrani, à l’origine d’une vaste polémique, sera remise « dans la soirée » au gouvernement.

Valérie Trierweiler était à Angers vendredi pour lire la dictée d’ELA, l’association européenne pour contre les leucodystrohies, dans son ancienne école primaire, l’école Paul Valéry, dans un quartier populaire d’Angers.AFP

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