Angers
Angers classée première métropole intermédiaire pour son attractivité économique

Le baromètre Arthur Loyd, sorti ce mardi 23 janvier, place Angers en tête des villes de 300 000 à 500 000 habitants en terme d’attractivité et de résilience, comme en 2022.
L’agence spécialisée dans l’immobilier commercial et l’immobilier d’entreprise Arthur Loyd a publié son septième baromètre de l’attractivité et la résilience des métropoles, ainsi que de la transition des territoires. A travers 75 indicateurs chiffrés et de nombreuses sources statistiques, le cabinet passe au crible 50 métropoles et agglomérations, totalisant 82 % de la population française.
Angers pour la deuxième année consécutive en tête du baromètre dans sa catégorie
En 2022, Angers était déjà en première position parmi les métropoles intermédiaires de 300 000 à 500 000 habitants, devançant notamment Reims, Brest ou Caen. Bis repetita, pour l’année 2023 Angers arrive avant Dijon et Reims.
Dans le détail, Angers est en première position pour la catégorie « Connectivité, capital humain et transitions » : « Dynamisme démographique, capacité d’innovation, offre de mobilité douce à l’échelle locale… Autant de domaines dans lesquels la préfecture du Maine-et-Loire est inégalée. »
Deuxième sur la « Vitalité économique », Angers s’appuie sur « le renforcement des emplois dans les Activités Métropolitaines Supérieures, tout en capitalisant sur un PIB régional en forte croissance, ou encore un taux de chômage faible par rapport à la plupart de ses concurrentes. »
Troisième pour la catégorie « Accueil des entreprises et Immobilier professionnel », Angers bénéficie de « l’exceptionnelle vitalité du marché immobilier tertiaire« , entre transactions de bureaux, ou des lieux d’accueil des entreprises comme le Cours Saint-Laud ou le Quai Saint-Serge.
Enfin, Angers n’est « que » quatrième sur la « Qualité de vie ». Elle « pâtit d’un coût du logement élevé » mais se rattrape sur d’autres points : « meilleur indice de sécurité, illustration d’un niveau de délinquance particulièrement faible », ou « offre d’enseignement supérieur particulièrement fournie ». Elle est aussi « préservée de la pollution atmosphérique, de même que des risques climatiques, tels que les précipitations extrêmes et les vagues de chaleur. »
Les villes de Toulouse, Rennes, Bayonne et La Rochelle également distinguées
Pour les très grandes métropoles de plus d’un million d’habitants, c’est Toulouse qui est sacrée. Rennes est quant à elle la métropole de 500 000 à 1 million d’habitants la plus attractive. Enfin, le cabinet Arthur Loyd a placé ex-aequo Bayonne et La Rochelle en tête pour les agglomérations de 100 000 à 300 000 habitants.