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Agressions rue du Cornet. Jean-Eudes Gannat de l’Alvarium donne sa version.

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Dans la nuit de vendredi 21 à samedi 22 mai, un groupe de personnes aurait été agressé par des membres de l’Alvarium, rue du Cornet à Angers (Maine-et-Loire). Le responsable du groupe identitaire, Jean-Eudes Gannat réagit ce matin.

Selon les propos rapportés par les victimes à Ouest France, un groupe de personnes remontait la rue du Mail, « quand un copain s’est dirigé vers la rue du Cornet pour « sticker » un autocollant sur la devanture du local de l’Alvarium, On a vu quelqu’un sortir par la fenêtre et lancer un projectile du premier local de l’étage ».

Le responsable du local de l’Alvarium , parle « d’une provocation sur le local. Pour cette fois, pas de tags appelant au meurtre, ni de tentative d’incendie ; un stickage du Réseau Angevin Antifasciste », et d’expliquer sa version « ils [nos militants présents] sont sortis excédés demander des explications à ces militants antifas venus exprès pour salir nos volets malgré le couvre-feu. »

Jean-Eudes Gannat n’élude pas les agressions « Il semblerait que des violences physiques aient en effet eu lieu suite à cette énième provocation, mais aucune « agression gratuite et aveugle » comme écrit dans l’article [de Ouest France]. Encore moins à 15 contre 5″.Et le responsable du local identitaire ne s’étonne pas « d’une réaction musclée après les multiples provocations et appels aux meurtres des antifascistes, tant sur les réseaux sociaux que sur les murs et les vitrines de notre ville ? »

« Dans ce climat de harcèlement perpétuel », l’Alvarium condamne la violence, « mais pas les auteurs. »

Alors que les plaintes déposées pour tags et dégradations « ne donnent jamais rien, obligeant nos militants à faire de multiples nuits blanches malgré leur travail et leurs études » précise Jean-Eudes Gannat , l’Alvarium réaffirme « son droit à l’autodéfense et réclame la fin de l’impunité des antifascistes, si prompts à appeler à la violence pour ensuite porter plainte quand elle a lieu, malgré leur haine affichée de la police. »

Selon le média régional, « des plaintes sont en cours de dépôt auprès du procureur de la République d’Angers et deux personnes seraient hospitalisés ».

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